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Brèves

Anin, examens aujourd'hui

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Écrit par : ogcnice.info
Publication : 26 mars 2012
Affichages : 2998

Avant Nice-Marseille, Kévin Anin a ressenti une douleur au mollet droit. Il devrait passer des examens aujourd'hui pour connaître la gravité de sa blessure. C'etait la deuxième fois (après Bordeaux- Nice) que le joueur était forfait lors d'un match offciel depuis son arrivée à Nice.

René Marsiglia: " C’est une petite faute professionnelle"

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Écrit par : L'Equipe
Publication : 25 mars 2012
Affichages : 3408

Dans la semaine, Renato Civelli avait dit préférer jouer une équipe de l’OM en plein doute. Mais il avait ajouté : « Avec leurs individualités, il restent capables de tout. » Hier, les Marseillais ont failli renouer avec le succès grâce à Mandanda dans les buts et à l’accélération victorieuse du duo Azpilicueta - André Ayew (1-0, 56e), seul danger du match devant la cage d’Ospina. Un but olympien qui est resté en travers de la gorge de René Marsiglia. « Ça m’a mis en colère, disait l’entraîneur niçois. C’est un but qui fait quand même désordre. C’est même une petite faute professionnelle. » Principal visé, même s’il ne le nomme pas, Fabian Monzon, monté aux avant-postes, pris de vitesse et effacé comme un cadet par Azpilicueta.

 

Dominateur, solidaire et combatif, auteur de très bonnes choses collectivement, le Gym a donc dû faire comme d’habitude : courir après le score. En multipliant les efforts, il a fini par être récompensé et cette persévérance a bien plu à Marsiglia : « En supériorité numérique (après l’expulsion de Kaboré, 45e + 2), ç’aurait été dur de s’incliner. Mais mes joueurs ont eu une bonne réaction et le petit nous a enlevé une épine du pied. » « Le petit », c’est Esmael Gonçalves, Portugais de vingt ans arrivé à Nice il y a trois ans et titularisé pour la première fois en Ligue 1. Non satisfait d’enquiquiner en permanence Mbia et Fanni, il a obtenu le penalty qui a permis à Monzon–6 buts désormais,6 penalties –d’égaliser (1-1, 76e). Un moindre mal pour le Gym, toujours englué néanmoins dans la zone de relégation, à la 18e place, à neuf journées de la fin. « Je suis frustré, répétait Marsiglia. On a eu les occasions pour marquer, mais on a encore péché par inefficacité. Un point, c’est insuffisant, même si c’est l’OM qui était en face. Compte tenu du scénario, on a perdu deux points. »

 

Deux points qui risquent de faire grandement défaut aux Niçois au moment du décompte final.



Ospina veut finir 17e

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Écrit par : L'Equipe
Publication : 24 mars 2012
Affichages : 3113

Dans quelques semaines, David Ospina ne sera sans doute plus niçois. Si l’OGCN veut gagner un peu d’argent, c’est au prochain mercato qu’il doit lâcher son gardien, sous contrat jusqu’en juin 2013 et très attiré par l’Espagne. Mais le gardien colombien de vingt-trois ans a mis son avenir de côté, pour l’instant. C’est d’abord la situation de Nice, 18e du classement et donc relégable, à dix journées de la fin, qui l’intéresse. « La L 2, il n’en est pas question, dit-il. On a une mission, c’est de maintenir le Gym en L 1, et on doit tout mettre en oeuvre pour y parvenir. Finir au moins 17e avec un point d’avance sur le 18e. »

 

Cet objectif, de plus en plus d’observateurs le jugent trop difficile pour le Nice actuel, incapable d’enchaîner une série de résultats positifs. « C’est sûr qu’on fait une très mauvaise saison, reprend Ospina. Six victoires seulement, c’est catastrophique. Je n’avais jamais connu ça, depuis quatre ans que je suis là. Même la saison dernière, où on a fini 17e, on n’avait jamais été en position de relégable. C’est une situation compliquée, à laquelle personne ne s’attendait. »

 

Le président, Jean-Pierre Rivère, visait en début de saison une place entre la 8e et la 12e. On est loin du compte. « On a pourtant une bonne équipe, avec le potentiel nécessaire pour jouer autre chose que le maintien, assure Ospina. On a aussi l’envie, mais ça ne s’enchaîne jamais comme on veut. Pourtant, je reste optimiste. Ça va se jouer au mental, et on a le mental pour s’en sortir. » Nice a aussi un gardien qui, après un début de saison hésitant dû à une blessure en Copa America et à un transfert avorté (Rennes proposait 3 millions d’euros, l’OGCN en voulait 5), a désormais retrouvé toute son efficacité. « J’ai été perturbé l’été dernier, et moyen par moments, dit encore Ospina. Mais je pense être désormais revenu à mon meilleur niveau. Je ne suis jamais descendu, et ce n’est pas ici que j’ai l’intention de commencer. »

 

Alors l’international colombien (25 sélections) parle de dix finales à disputer jusqu’au mois de mai. La première ce soir, contre l’OM, dans un stade du Ray bouillant.

Monzon : "Je ne suis pas venu pour la Ligue 2"

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Écrit par : fifa.com
Publication : 24 mars 2012
Affichages : 3467

Impeccable mais relégable, défenseur mais meilleur buteur, rappelé en sélection au moment où son club touche le fond, Fabian Luciano Monzon passe par tous les extrêmes entre l’OGC Nice et la sélection d’Argentine.

 

Fabian, vous êtes désormais en France depuis huit mois. Comment se passe votre acclimatation à la vie niçoise ?

 

Nice est une ville très agréable. J’ai eu le temps de trouver mes marques, avec l’aide de mes coéquipiers, mais aussi avec les marques d’affection qu’on reçoit de nos supporters. En plus, maintenant je parle un peu français, donc la communication s’améliore avec mes coéquipiers. C’est important, non seulement sur le terrain, mais aussi dans la vie de tous les jours. En plus, avec Renato Civelli, David Ospina et Raul Fernandez, on se voit souvent, on organise des asados, on s’achète des herbes pour le maté. Donc on se sent un peu comme à la maison ! C’est une des raisons pour lesquelles mon adaptation se passe aussi bien, mais je ne me contente pas de ça, je m’adapte aux coutumes du pays.

 

Lorsque vous avez signé à Nice, vous imaginiez-vous que vous lutteriez pour le maintien ?

 

Sincèrement, je pensais que la situation serait un peu meilleure, mais nous n’avons pas eu beaucoup de chance, surtout en début de saison où nous avons perdu des matches que nous n’aurions pas dû perdre. Et le début de saison conditionne souvent le reste du championnat. Aujourd’hui, nous sommes dans une situation qui ne convient à personne. Quand on commence une saison, ce n’est dans la tête de personne qu’on peut se retrouver en Ligue 2 à la fin. Je ne suis pas venu en France pour jouer en deuxième division, mes coéquipiers non plus. On a une bonne équipe pour rester en première division. Maintenant, le penser c’est bien, le montrer c’est mieux. Il faut se battre et vite se sortir de cette situation car il ne reste pas beaucoup de matches.

 

Désormais, tous les matches sont quasiment décisifs. Prépare-t-on ces rencontres en pensant à ne surtout pas perdre, ou en cherchant la victoire à tout prix ?

 

Tout le monde vous dira toujours qu’on joue un match pour le gagner, et qu’on n’entre jamais sur le terrain en imaginant la défaite. Sinon, autant rester tranquille à la maison. Même si on ne peut pas tout gagner, notre mentalité est en tout cas de vouloir gagner à chaque fois. C’est uniquement en pensant à ça qu’on s’entraîne et qu’on rentre sur le terrain. Le problème, c’est que la lutte pour le maintien concerne beaucoup d’équipes et j’imagine que toutes ont cette mentalité. C’est pour cela qu’elle est si difficile.

 

Vous êtes venu à Nice en tant que défenseur, mais aujourd’hui, vous êtes le meilleur buteur du club. Comment le vivez-vous ?

 

C’est une sensation très agréable ! (rires) Mais d’un autre côté, ce serait plus logique et peut-être plus rassurant si nos attaquants étaient à cette place. Comme je tire les penalties, forcément, mes chiffres sont meilleurs. Nous avons de très bons attaquants mais qui manquent de réussite depuis le début de la saison. Et ensuite, ça devient plus une question de confiance que d’adresse. J’espère que cette situation va changer rapidement.

 

Vous êtes un latéral très offensif. Comment vous êtes-vous adapté au championnat français, jugé fermé et défensif ?

 

C’est toujours difficile de s’adapter à un nouveau championnat, avec sa culture et sa mentalité, et surtout quand en arrivant, on ne peut pratiquement pas se comprendre avec ses coéquipiers. Mais une fois que le problème de la langue est dépassé, je m’adapte au style de l’équipe. Notre système de jeu me plaît. On joue beaucoup avec les latéraux, donc je touche beaucoup le ballon, je fais mon boulot défensif au maximum, et je participe à la construction en aidant le milieu ou l’attaquant qui est devant moi.

 

Saviez-vous que Carlos Bianchi, légende de Boca Juniors, votre ancien club a été l’entraîneur de Nice pendant une saison ?

 

Je n’ai pas eu l’occasion d’en parler avec lui avant, mais à Boca Juniors, Bianchi est une référence, tout le monde l’aime et le respecte et connaît sa carrière extraordinaire. Donc s’il est passé par Nice, ça doit forcément être un bon signe. Mais malheureusement, je n’ai pas pu en parler avec lui.

 

Malgré les problèmes de l’équipe, de grands clubs comme la Juventus, l’AC Milan ou Arsenal s’intéressent à vous. Quelle serait l’étape suivante de votre carrière pour progresser ?

 

Malgré notre saison difficile, je suis satisfait de mon rendement personnel. Si ce qu’on dit sur les clubs intéressés est vrai, c’est flatteur et ça donne envie de continuer à progresser. Et cela doit rester mon seul objectif : continuer à progresser. Je ne sais pas où je serai dans les prochains mois, depuis que je suis arrivé, le staff technique, la direction, tout le monde m’a beaucoup aidé. Je n’ai aucune raison valable de chercher à partir. Je profite juste de chaque moment que le football m’apporte, et pour l’instant c’est à Nice.

 

Vous êtes devenu le spécialiste des penalties à l’OGC Nice. Est-ce quelque chose de nouveau ? A Boca Juniors, avec Martin Palermo et Juan Riquelme, ce devait être difficile de tirer un penalty…

 

C’était impossible ! (rires) Riquelme et Palermo étaient les tireurs officiels. Pour les autres, c’était interdit de s’approcher du ballon. Ce qui est normal étant donné leur carrière, leur expérience et leur adresse sur les coups de pied arrêtés. A Nice, j’ai commencé à prendre les penalties parce qu’à l’entraînement, personne n’était réellement le spécialiste désigné. J’en ai tiré quelques-uns et mes coéquipiers ont décidé de me faire confiance pour les tirer en match. Jusqu’à présent, la chance me sourit puisque j’en marque plus que j’en rate !

 

Une autre de vos caractéristiques est votre engagement. C’est quelque chose que les supporters français ont toujours apprécié chez les joueurs argentins, comme vous, Renato Civelli, Juan Pablo Sorin, Gabriel Heinze ou Lisandro Lopez. Comment expliquez-vous cette mentalité si particulière ?

 

Il y a sans doute des joueurs qui ont cette mentalité en France, mais il faut reconnaitre que chez les Sud-Américains en général, c’est quelque chose d’inné. C’est dû à la motivation de défendre les couleurs du club, mais aussi à l’orgueil de chacun. Personnellement, je pense toujours à ma famille, et à tous ceux qui m’ont appuyé pour que je puisse en arriver là, et faire ce que j’aime le plus au monde, à savoir jouer au football, et pouvoir en vivre et en profiter. Nous, les Sud-Américains, nous jouons évidemment pour le plaisir, mais aussi en gardant cela à l’esprit. C’est ce qui fait que nous voulons toujours gagner et que nous sommes prêts à tout donner pour y parvenir. Depuis qu’on est tout petit, on nous inculque cette mentalité, de se battre pour ce que nous voulons, de savoir que dans la vie, rien ne sera facile à obtenir. Et ça se ressent sur notre manière de jouer.

 

Grâce à votre bonne saison, vous avez été rappelé en sélection pour les trois derniers matches. Avez-vous été surpris ?

 

Honnêtement, ça a été une surprise parce que je n’avais plus fait partie de la sélection depuis longtemps, et qu’en général, un sélectionneur appelle des joueurs qui brillent dans des grands clubs. Pour moi, c’était difficile de penser à la sélection quand mon club est à la peine en championnat. Donc j’ai été très surpris - et d’autant plus heureux - d’être convoqué.

 

Après une longue absence, comment vivez-vous ce retour en sélection ?

 

Je n’ai pas joué, mais le simple fait d’être convoqué est rassurant, cela récompense les efforts, et le simple fait d’être dans le groupe permet de se dire qu’on a sa place parmi les meilleurs joueurs de son pays, qu’on peut rendre des services à son équipe. En plus, j’ai participé au dernier rassemblement lorsque Lionel Messi a marqué trois buts. Beaucoup de joueurs auraient aimé être à ma place !

 

Comment le sélectionneur Alejandro Sabella vous a-t-il expliqué sa décision de vous rappeler ?

 

Peut-être qu’il considère qu’à l’heure actuelle, il n’y a pas de joueur meilleur que moi à ce poste, même si personnellement, je ne me considère comme meilleur que personne. Je suis en bonne condition, je fais de bonnes performances, et il considère que j’ai ma place en sélection. Il faut que je travaille individuellement encore plus, que je sois encore plus complet d’abord sur le plan défensif, avant de penser à l’apport offensif. Toute sélection veut avant tout une défense très solide. Je dois encore progresser, être plus complet, et surtout plus rigoureux défensivement.

 

Pourquoi l’Argentine a-t-elle tant de mal à produire des latéraux ? En Afrique du Sud par exemple, les deux latéraux étaient des défenseurs centraux décalés.

 

Les entraîneurs qui succèdent à la tête de la sélection sont obligés de rechercher la meilleure solution pour ce poste, tant que personne ne s’est réellement imposé. En Suisse par exemple, j’étais sur le banc, mais l’entraîneur a considéré que Pablo Zabaleta était une meilleure solution. On ne peut pas lui donner tort, puisqu’on a gagné 3:1 et Zabaleta a fait un très bon match.

 

Le Brésil produit régulièrement des latéraux de haut niveau, comme Maicon, Cafú, Dani Alves, Roberto Carlos, Andre Santos ou Michel Bastos. Comment expliquer un tel contraste avec l’Argentine ?

 

Au Brésil, il y en a toujours eu et qu’il y en aura toujours, ne serait-ce que par la richesse du réservoir, et ce à tous les postes. Il y a quand même de bons latéraux en Argentine, comme Ivan Pillud, du Racing, et sûrement beaucoup d’autres, mais encore jeunes et sans expérience. Tant que d’autres défenseurs de métier assurent à ce poste, c’est difficile de s’imposer. Mais je pense que le sélectionneur les connaît et les verra tous à l’œuvre pour décider à qui il peut donner sa chance. J’en suis la preuve.

 

Comment expliquer les difficultés de l’Argentine à la Coupe du Monde de la FIFA 2010 et en Copa América 2011 avec un effectif qui compte pourtant tant de talent ?

 

Le problème de l’Argentine a été que les joueurs n’ont pas réussi à se compléter, même si j’ai l’impression que nous avons beaucoup progressé à ce niveau. On s’est peut-être trop reposé sur nos talents individuels, sans réussir vraiment à en faire une équipe. L’Argentine regorge de joueurs de grand talent, et le plus difficile est de réussir à les faire jouer ensemble. C’est une chose facile à dire, c’en est une autre quand il s’agit de le faire. Aujourd’hui, il faut que nous soyons capables de démontrer que les choses ont changé.

 

Savez-vous quel est le dernier titre international remporté par l’Argentine ?

 

(Il réfléchit) Je ne sais pas, mais ça fait très longtemps que l’Argentine n’a rien gagné !

 

Le Tournoi Olympique de Football Masculin de Pékin. Avec un certain Monzon comme arrière gauche…

 

Evidemment ! C’est difficile d’oublier ! C’était en 2008, donc il y a déjà quelques temps. C’est un grand souvenir, et ce serait extraordinaire de répéter cet exploit. Nous avons connu un moment merveilleux, notamment la victoire contre le Brésil, et surtout la manière dont nous avons gagné. Nous avions une équipe en pleine forme au bon moment et une mentalité de vainqueur que nous a inculquée l’entraîneur, Sergio Batista. Il a toujours été convaincu que nous finirions champions olympiques et nous l’avons fait.

[Radio] José Boetto (CDS) nous parle de Nice - Marseille

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Écrit par : France Bleu
Publication : 23 mars 2012
Affichages : 3019

José Boetto, président du Club des Supporters, nous parle de Nice Marseille, côté tribunes... A écouter!





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