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Dans un petit entretien accordé à l'Equipe, Jean-Pierre Rivère indique à propos du Grand Stade: "Il y aurait un certain danger et il ne faudrait surtout pas faire n’importe quoi. Le nouveau stade, c’est un vecteur de croissance, formidable pour l’image, mais ça suppose beaucoup de frais et des pertes. On ne va pas être automatiquement plus riches". Il précise concernant l'éventuelle Coupe de d'Europe: "La Ligue des champions, ça peut être pénalisant. Ça sous-entend un effectif plus étoffé, des efforts financiers en faveur des joueurs, aussi. On ne se mettra pas en danger et on restera sage. Si ça arrive, il y aura des primes, mais sur un an et pour un événement particulier. Après, on reviendra à des conditions normales." Jean-Pierre Rivère reste les pieds sur terre.
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Très critiqué lorsqu'il était à Lyon, Claude Puel a restauré son image à Nice, quatrième de L1 avant son déplacement à Saint-Etienne, samedi. «Mon image, ce que je peux véhiculer, c'est secondaire...», assure pourtant le technicien.
«Claude Puel, en arrivant à Nice, vous aviez annoncé que l’objectif, dans les quatre-cinq années à venir, serait de jouer la Ligue des champions. Vous attendiez-vous à être à la lutte dès cette saison ?
Non, non. En début de saison, on s’était un peu moqué de nous quand j’avais dit ça, mais je ne vois pas en quoi c’était utopique. Ça me paraît normal d’avoir de l’ambition. Cette saison, les choses se sont mises en place plus vite que prévu, mais on ne se gargarise pas.
Quand on ne compte qu’un point de retard sur le podium, est-ce difficile de ne pas regarder en haut ?
Il reste tellement de matches à jouer… On va devoir beaucoup se déplacer, affronter des prétendants qui ont des choses très importantes à jouer, et on a également beaucoup de blessés. Il y a énormément d’inconnus ! Si, à trois ou quatre journées de la fin, on est toujours en passe de jouer quelque chose, on ne s’en privera pas. Mais il ne suffit pas de dire qu’on est ambitieux, il faut aussi s’en donner les moyens. Et comme on n’a pas de moyens financiers, ça passe par des ambitions de jeu, du travail et beaucoup d’humilité.
«Il y a eu une prise de risque importante, mais on a pensé à l'avenir.»
L’été dernier, vous avez fait venir des joueurs inexpérimentés (Pied, Kolodziejczak, Bautheac, Eysseric…) et un inconnu (Cvitanich). Paris risqués…
On est dans un projet sur une plusieurs années. On n’avait pas les moyens de recruter des joueurs confirmés. Soit on prenait des joueurs qui pourraient faire un an ou deux au club pour assurer le maintien. Soit on prenait des risques avec des jeunes joueurs que personne ne connaissait, mais qu’on pourrait faire progresser pour accompagner le projet. Il y a eu une prise de risque importante, mais on a pensé à l’avenir.
En l’espace de quelques mois, vous avez fait passer Nice d’un club qui joue le maintien à un club qui joue le haut de tableau. Comment cela a-t-il été possible ?
S’il suffisait de dire qu’on joue la Ligue des champions pour avancer, tout le monde le ferait. Il y a eu une refonte de l’effectif importante, le groupe est réceptif, les résultats mettent du piment, les mentalités et l’appétit évoluent à mesure que le Championnat se déroule… Tout le monde suit le projet initial de jeu, de structures,… C’est un ensemble de choses qui fait que tout le monde regarde vers l’avant. Pour tout projet sportif, il faut un environnement propice à la performance, avec beaucoup d’écoute et une ligne directrice entre les dirigeants et le secteur sportif. C’est ce qui se passe à Nice.
«Là-bas aussi, c'était un début de cycle, mais quand on est à Lyon, il ne faut pas que ça se voit.»
Cette première saison au Gym consolide, pour l’instant, votre image d’entraîneur bâtisseur…
Dans un club, on bâtit toujours. A Lyon aussi, j’ai bâti des structures, monté des gamins, préparé un effectif pour les années futures. Mais tout ça passe à l’as parce qu’il y a une obligation de résultats. Pour moi, entrainer à Nice, Lyon, Monaco ou Lille, c’est la même chose. L’essence du métier ne change pas.
La différence entre Nice et Lyon, c’est qu’à l’OL, vous arriviez dans un club qui avait déjà beaucoup gagné.
Oui, mais qui arrivait en bout de cycle, avec un effectif à remodeler ou à faire évoluer. Là-bas aussi, c’était un début de cycle, mais quand on est à Lyon, il ne faut pas que ça se voit.
Avec ce que vous être en train d’accomplir à Nice, peut-on parler d’une réhabilitation ?
Non, je ne fonctionne pas comme ça. Mon image, ce que je peux véhiculer, c’est secondaire… Personnellement, je suis fier de ce qui a pu être réalisé partout où je suis passé. Je n’ai pas besoin de réhabilitation parce que je sais aussi que ce qui a été réalisé à Lyon, dans les conditions où ça a été réalisé. Mais là, il n’y a que moi qui le sais (rires)».
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- Écrit par : Jonathan
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Après un début de saison difficile, l'OGC Nice de Claude Puel a su réaliser de belles performances qui lui ont permis d'atteindre la 4ème place du classement de Ligue 1. Malgré l'absence de l'attaquant argentin Dario Cvitanich blessé à la cuisse, du défenseur Romain Genevois et du milieu de terrain Jérémy Pied également privés de match pour blessure, les Aiglons ont poursuivi leurs efforts en battant Bastia sur son propre terrain lors de la 25ème journée de championnat. Ce match a marqué les débuts en ligue 1 de Grégoire Puel qui a su trouver sa place et défendre, à plusieurs occasions, les buts de David Ospina. On note également les belles prestations de Neal Maupay, Didier Digard et Kevin Anin lors de cette rencontre.
L'OGC Nice en route pour l'Europa League ?
D'après une interview de Claude Puel, l'Europe n'est pas l'objectif principal des Aiglons à ce stade de la compétition. Cependant, si son équipe continue sur sa lancée, elle pourrait trouver sa place dans la compétition européenne. Une belle revanche pour Claude Puel après les critiques et les années difficiles passées à la tête de l'Olympique lyonnais, et pour les parieurs voulant miser une jolie somme après avoir déniché un code promo PMU !
L'atout de l'OGC Nice
Un des grands atouts du club niçois est le joueur Neal Maupay. Malgré son jeune âge (16 ans seulement), il fait déjà preuve d'une grande maturité aussi bien au niveau physique que mental. C'est un joueur qui a de grandes qualités techniques et qui peut aspirer à une grande carrière. Claude Puel souhaite cependant le protéger du fait de son jeune âge.
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- Écrit par : Goal.com
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Arrivé en provenance de l'Ajax Amsterdam, Dario Cvitanich a trouvé ses marques en Ligue 1 et avec le maillot de l'OGC Nice.
"J'ai eu la chance d'aller dans deux villes incroyables"
400 000 euros, c’est le prix qu’a déboursé Nice pour s’attacher les services de l'attaquant argentin, quasiment inconnu, en provenance du club de l’Ajax Amsterdam. Car Dario Cvitanich a le profil de joueur guerrier, toujours au service du collectif et cela dans les différents clubs où il a évolué. Dans un entretien exclusif accordé à Goal.com, le buteur a d'ailleurs confié qu'il pensait que le championnat de France était particulièrement difficile. "La Ligue 1 a un football très physique, c'est un championnat très dur et avec des équipes très égales".
Arrivé sur la côte d’azur dans l’indifférence générale, par rapport aux transferts parisiens, l’attaquant argentin porte les Aiglons sur ses épaules. Si Dario Cvitanich a rapidement pris ses marques, il avoue que l'adapation à sa nouvelle Nice n'a pas été simple. "J'ai eu la chance d'aller dans deux villes incroyables, d'abord à Amsterdam, puis à Nice. Quoi qu'il en soit, même si ce sont des endroits agréables, cela ne signifie pas qu'il n'y a pas de difficultés pour s'adapter parce que la langue est la première barrière et ça prend du temps à apprendre", confie-t-il à Goal.com.
L'Argentin a ainsi pris une cadence (42% de ses tirs font mouche) justifiant son surnom de "Super Dario". Cvitanich est désormais le quatrème meilleur buteur du Championnat avec 12 réalisations (à égalité avec Bafétimbi Gomis) et n'a qu'une seule envie, faire encore trembler les filets adverses pour le plus grand bonheur des Niçois. Le niçois, blessé depuis le 2 février dernier et le déplacement à Brest et qui devrait être de retour fin mars, explique sa réussite. ''Je crois que à mesure que les années passent, chacun acquiert plus d'expérience. Il faut s'adapter à ce que demande chaque club. Les entraineurs aussi ont des gôuts différents et il faut savoir affronter cela'', commente-il pour Goal.com.
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- Écrit par : L'Equipe
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Le rapport annuel de la DNCG, le gendarme financier du football français, à paraître dans quelques jours, dresse un bilan inquiétant de la situation financière des clubs de Ligue 1 et de Ligue 2. Les clubs pros affichaient au 30 juin 2012 un déficit global de 108 millions d'euros, en hausse sensible par rapport à la saison 2010-2011 (65 millions). «La perte des club s'accroît de nouveau, bien que le résultat des opérations de mutation (transferts) poursuive sa croissance (Ndlr : +30% en deux saisons)», relève la DNCG.
Lyon, Bordeaux, Auxerre, Lens et Nantes sont les plus touchés
En Ligue 1, l'OL subit les pertes les plus importantes (-28 millions, comme la saison dernière), tandis que Bordeaux double son déficit en 12 mois (de 7,04 à 14,3 millions) et que Nice n'est pas à la fête non plus (-7,8). Acteurs du Classique ce dimanche, le PSG et l'OM s'inscrivent dans le rouge pour 5,5 et 8,2 millions d'euros, respectivement. Le club parisien a perdu évidemment beaucoup plus (-100 millions) mais ses pertes sont quasiment compensées par le "contrat en or" passé avec QTA, le bras armé touristique du Qatar.![]()
Avec 14 clubs sur 20 en déficit et des pertes multipliées par 2,5 en un an, la L2 préoccupe. Auxerre était à 16,4 millions d'euros de pertes au moment de sa relégation. Lens (-17,2 millions) ou encore Nantes (-12,1) ne sont pas mieux lotis. Globalement, le déficit du football tricolore est toujours supporté pour une grande partie par les actionnaires des clubs, via notamment d'importantes augmentations de capital, ce qui selon la DNCG «ne peut constituer une solution viable pour la grande partie des clubs».
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